Mon anus m'a permis de financer ma galerie d'art
Madison Young, une des figures incontournables de la pornographie féministe, avait été découverte, en France, dans le documentaire d’Émilie Jouvet « Too much pussy ». Ce long-métrage avait d’ailleurs reçu le prix du meilleur film LGBT au festival du film indépendant à Cannes en 2011 comme nous l’explique le site Metronews.
C’est là, que la réalisatrice à remarque que Madison était très active lorsque la caméra ne tournait pas. Elle passait son temps à développer de nouveaux projets littéraires et/ou artistiques. C’est pendant ses pauses sur le tournage que la jeune femme organisait des articles, programmait des lectures et conférences ou encore, organisait des ateliers d’éducation sexuelle.
Le dernier soir du tournage, avant de rentrer chez elle à San Francisco, Madison a eu une idée peu commune. Elle s’est alors rendue au pied de la Tour Eiffel afin d’y réaliser des « Anus prints » : des impressions de son anus qu’elle avait réalisé l’après-midi même dans sa chambre d’hôtel en délayant du rouge à lèvres et en y inscrivant « Anus of love ». Le but de sa création ? Les offrir aux touristes, tels des traces de baisers laissés sur des lettres d’amour. Et pourquoi la Tour Eiffel ? « Quoi de mieux que la Tour Effeil pour célébrer l’amour ? », confie la jeune artiste.
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