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Les cellules de Leydig du testicule, qui sont la principale source de l'hormone sexuelle mâle testostérone stéroïdes, récepteurs des oestrogènes express (ESR) et sont soumis à une réglementation par les œstrogènes. Après ingestion, les deux principales isoflavones dans le soja, génistine et daidzine, sont hydrolysés par la flore intestinale pour former la génistéine et la daidzéine, qui ont la capacité de lier et ESR affectent l'expression des gènes. Ainsi, l'utilisation croissante de produits à base de soya comme succédané de sources de protéines a soulevé des préoccupations concernant le potentiel de ces produits toxiques pour la reproduction. Dans la présente étude, l'exposition périnatale de rats mâles à isoflavones activité proliférative induite dans les cellules de Leydig. Les isoflavones ont la capacité d'agir directement en tant que mitogènes dans les cellules de Leydig, parce que le traitement génistéine induit la division des cellules de Leydig in vitro. Action Genistein régulation de la division des cellules de Leydig impliqués ESR, agissant de concert avec des molécules de signalisation dans la voie de transduction médiée par la protéine kinase B (AKT) et mitogen-activated protein kinase (MAPK). Amélioration de l'activité proliférative dans la période prépubertaire augmentation du nombre des cellules de Leydig, qui répondaient déficits dans la biosynthèse des androgènes et / ou du sérum enrichi et des concentrations de testostérone testiculaire à l'âge adulte. Ensemble, ces observations indiquent que l'exposition périnatale de rats mâles à isoflavones touchés différenciation des cellules de Leydig, et elles impliquent que les produits de soja, y compris dans l'alimentation des nouveau-nés a des implications potentielles pour la fonction testiculaire.

j'ai pas tout compris ...En gros, des chercheurs de l'Université d'Auburn, dans l'Alabama,ont donné à manger des isoflavones de soja à des bébés rats. Pourquoi des isoflavones ? Mais que de questions rhétoriques ! Parce que ces molécules s'hydrolysent avec la flore intestinale pour former de la génistéine et de la daidzéine, deux substances chimiques qui ont la malencontreuse capacité de se lier aux récepteurs œstrogéniques de certaines cellules et d'en modifier l'expression génétique.