Blablaterama ..le blog politique et poetique

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antibiotiques naturels !

Canneberge contre les infections urinaires

Plus de 85% des infections urinaires sont la conséquence d'Escherichia coli, une bactérie qui adhère à la muqueuse de la vessie et s'y multiplie pour provoquer douleurs et fièvres.
D'où viennent les propriétés de la canneberge : Une substance contenue dans la baie (proanthocyanidine) empêcherait que les bactéries se fixent dans la muqueuse. En 1994, une étude américaine de l'école médicale de Harvard a montré notamment que la consommation régulière de cette plante réduirait les infections urinaires chez les femmes.
Consommation : 1 gélule/jour le matin avec un verre d'eau pendant le repas en prévention. A vie si nécessaire pour celles qui ont des cystites à répétition. A la place, on peut aussi prendre quotidiennement un verre de jus de canneberge ou 250g de baies (même posologie). Si la répétition des infections persiste, consultez.
Disponible sous forme de boîte de 45 gélules de 36 mg de PAC (proanthocyanidines) en pharmacies et parapharmacies.
'' *Pendant l'infection, la consultation chez un médecin et la prise d'antibiotiques sont fortement conseillées.''

 

 

Pépins de pamplemousse


C'est en 1979 que le Dr Jacob Harich, médecin et physicien (Lauréat du prix Einstein), remarquait que les pépins de pamplemousse qu'il avait jeté dans son compost ne pourrissaient pas. Il fit immédiatement des recherches et découvrit que l'extrait obtenu en pressant les pépins se révéla être un puissant germicide capable à lui seul d'inactiver des virus, des levures, des champignons, des parasites, des vers aussi bien que des bactéries. L'extrait de pépins de pamplemousse s'est avéré efficace sur une grande quantité de micro-organismes. Sa très large action thérapeutique est étonnante. Il apparaît pourtant que l'extrait de pépins de pamplemousse n'affecte aucunement la flore bactérienne saine de l'intestin, et respecte en particulier les bifidobactéries et les lactobacilles. De plus, le produit n'a aucun effet secondaire, et n'est pas toxique aux doses prescrites. Tout cela semble trop miraculeux !

Depuis, il a été découvert que l'extrait de pépin de pamplemousse est très efficace contre les infections bactériennes et même contre certains virus (y compris sans doute contre la grippe aviaire qui menace). Des tests récents ont montré son efficacité contre la grippe mais aussi en cas d'eczémas, de psoriasis, de pellicules, de verrues, de vaginite, gingivite et troubles intestinaux. En usage externe on s'en sert dilué sur la peau, pur sur les verrues. Il a un pouvoir désinfectant qu'on peut utiliser avec l'eau de consommation. C'est manifestement un produit économique et sûr qui gagnerait à être plus largement connu et utilisé. (Extrait du site http://jeanzin.fr/ecorevo/sciences/pamplemo.htm)


D'où viennent les propriétés des pépins de pamplemousse : La richesse du pamplemousse en bioflavonoïdes à l'origine de ces propriétés.
Consommation : Cure sur prescription d'un spécialiste de 3 à 18 gouttes 1 fois/jour dans un verre d'eau la 1ère semaine, puis 2 fois/jour la 2ème, puis 3 fois/jour la 3ème aux repas.
"Débutez par 3 g et augmentez progressivement la dose, 3 semaines", précise le Dr Line Martin, médecin généraliste et naturothérapeute. Il est conseillé de revoir un spécialiste après la cure.
Disponible en magasins bio ou pharmacies.

 

 

L'ail contre la pneumonie

medisite.fr ail

un aliment santé incontournable ! Vertus et mode d’emploi de cette petite gousse magique.

 

Contre le rhume, la grippe, l’hypertension, le vieillissement, le cancer… L’ail est l fait baisser la tension artérielle

"Des études ont montré que l’ail réduit la tension artérielle d’environ 10%", explique le Dr Franck Senninger, médecin nutritionniste. "Il diminuerait aussi l’athérosclérose [accumulation de graisses sur la paroi des artères] en diminuant le volume des plaques de cholestérol et en conférant une meilleure élasticité à l’aorte du coeur après 50 ans."

L’ail facilite la digestion

Si on prend la peine d’enlever le germe (indigeste pour certaines personnes), l’ail est un excellent antiseptique qui entretient la flore intestinale, facilite la digestion et la sécrétion de bile.
Pourquoi : La vitamine B1 contenue dans l’ail participe à la fabrication d’enzymes qui aident à la digestion. L’ail contient aussi du chlore qui renforce l’activité de l’estomac dans la destruction chimique des aliments.
Consommation : 2 gousses d’ail crues ou 4 cuites/jour sur 2 à 3 prises, écrasées ou hachées à avaler avec une gorgée d’eau, à vie.
Sachez-le : L’ail prévient la gastro-entérite en détruisant les bactéries intestinales. Consommez-en régulièrement, de préférence cru.

Il protègerait de certains cancers

Les résultats de plusieurs études publiées entre 1966 et 1999 démontrent une diminution de 30% du risque de cancer colorectal (gros intestin) et d’environ 50% du risque de cancer de l’estomac en cas de consommation élevée d’ail.
Pourquoi : Il a été prouvé que l’allicine (la molécule responsable de l’odeur caractéristique de l’ail libérée lorsqu’il est coupé, broyé ou écrasé), et d’autres dérivés (diallyl sulfide, diallyl disulfide et ajoène) protègent l’organisme en empêchant certaines cellules cancéreuses de se multiplier.
Consommation : 2 gousses d’ail crues ou 4 cuites/jour sur 2 à 3 prises, écrasées ou hachées à avaler avec une gorgée d’eau, à vie.

Des vertus anti-âge !

Après avoir découvert un taux de centenaires élevé dans le comté de Jinshan en Chine en 2001 (35 centenaires, soit 7 fois plus que la moyenne du pays), des scientifiques chinois en ont conclu que l’ail aiderait à vivre mieux et plus longtemps.
Pourquoi : L’ail est riche en antioxydants (flavonoïdes, tocophérol, cystéine, sélénium, manganèse et cuivre) qui combattent les radicaux libres, responsables du vieillissement cellulaire.
Consommation : 2 gousses d’ail crues ou 4 cuites/jour sur 2 à 3 prises, écrasées ou hachées à avaler avec une gorgée d’eau, à vie.

L’ail, bon remède contre le rhume !

En 2001, une étude anglaise menée sur 146 personnes a montré que l’ail prévient et traite les infections des voies respiratoires. Ceux qui avaient pris une capsule d’allicine (molécule de l’ail) durant 12 semaines ont été moins infectés par le virus du rhume que ceux du groupe placebo. Et lorsqu’ils étaient enrhumés, leurs symptômes se résorbaient plus vite.
Pourquoi : Quand on mange de l’ail, l’allicine passe dans le sang et détruit les virus et les bactéries. Une partie de cette allicine est rejetée par la respiration (l’haleine forte du mangeur d’ail vient de là) et tue les virus et bactéries présents dans l’arbre respiratoire.
Consommation : 2 gousses d’ail crues ou 4 cuites/jour sur 2 à 3 prises, écrasées ou hachées, à avaler avec une gorgée d’eau, pendant la période hivernale.

L’ail, un antibiotique naturel !

Louis Pasteur fut le premier à reconnaître les propriétés anti-infectieuses de l’ail. Les récentes études ont montré que ses composés peuvent tuer 60 espèces de champignons et plus de 20 types de bactéries, parmi lesquelles l’hélicobacter pylori (responsable de l’ulcère de l’estomac), le staphylocoque doré et le pneumocoque responsable de la pneumonie.
Pourquoi : L’ail contient de l’allicine, un puissant antimicrobien, de la vitamine C, de l’iode, du magnésium et du soufre, qui sont d’autres anti-infectieux.
Consommation : 2 gousses d’ail crues ou 4 cuites/jour sur 2 à 3 prises, écrasées ou hachées, à avaler avec une gorgée d’eau jusqu’à complète guérison.

L’ail traite les affections de la peau

En usage externe, l’ail ferait merveille contre les mycoses et les verrues (papillomavirus). Une étude menée au Venezuela en 2000 a montré 100% de guérison d’un pied d’athlète (infection du pied due à un champignon) après avoir appliqué de l’ajoène (substance dérivée de l’allicine, une molécule de l’ail), sur 60 jours.
Pourquoi : L’ail est un puissant antifongique, antibactérien et antiviral grâce à sa teneur en allicine.
Consommation : Appliquez une purée d’ail cru haché avec un sparadrap pendant la nuit jusqu’à guérison. Protégez la peau saine environnante avec du vernis à ongle incolore ou un pansement (le suc est irritant).

Comment éviter la mauvaise haleine !

Bonne nouvelle ! Plus on mange d’ail, moins on sent l’ail. La consommation régulière de ce condiment favorise la formation d’enzymes, qui aident à minimiser les émanations aillées.
Autre astuce : Inutile de vous brosser les dents, ça ne marche pas ! Préférez la consommation de quelques brins de persil ou d’une à deux feuilles de menthe fraîche juste après le repas. La chlorophylle supprime l’odeur alliacée.
Et pour ceux qui le digère mal : Pensez à enlever le germe, souvent responsable de ce désagrément.

Ail cru, cuit ou en poudre ?

L’ail cuit ne vaut pas le cru. L’allinase, enzyme qui permet la formation de l’allicine et autres composés sulfurés, se dégrade avec la chaleur. Un truc : ajoutez l’ail cru environ 20 minutes avant la fin de la cuisson.
On le trouve aussi en poudre, avec un avantage : celui de ne pas provoquer d’haleine forte. Mais pour être efficace, il faut prendre 1 gramme/jour d’extrait d’ail à 1,3% d’allicine en capsules gastro résistantes (les sucs gastriques rendant inactifs l’allicine).
Attention : Eviter de trop consommer d’ail si vous prenez des médicaments anticoagulants, car il fluidifie le sang.

 

 

L'échinacéa purpuréa contre la grippe


Cette plante médicinale d'origine américaine stimule l'immunité et posséde des propriétés antivirale et antibactérienne, avec un tropisme particulier pour la muqueuse ORL.

 

D'où viennent les propriétés de l'échinacée :_ "Elle rend les globules blancs plus mobiles et augmente la capacité des macrophages (globules blancs éboueurs) à neutraliser les bactéries... et virus", explique le Dr Line Martin, médecin généraliste, naturopathe. "Elle contient aussi de l'échinacoside, aux propriétés antibiotiques".


Pour la préparer, vous pouvez réaliser une alcoolature avec la plante fraîche entière (avec la racine)
selon cette méthode

Cette préparation est idéale pour extraire la majorité des principes actifs de la plante et permettre une bonne conservation de son activité. L’alcoolature est aussi appelée teinture mère par les homéopathes, car elle est la solution de base pour les remèdes homéopathiques. Une alcoolature d’arnica diluée 100 fois et dynamisée devient arnica 1 CH ; si l’opération est répétée la solution devient arnica 2 CH et ainsi de suite.

 

La quantité de plantes à placer dans le solvant est calculée en fonction de sa proportion d’eau.

Une partie de la récolte est pesée et passée au four jusqu’à dessèchement complet et repesée.

La proportion dans l’alcoolature doit être de  1/10 de matière sèche pour 5/10 d’alcool et 4/10 d’eau  (en poids).

 

Si 100g de racine de valériane passée au four donne 50g de matière sèche.

Pour faire un litre d’alcoolature il faut :

-          200g de racine (pour 100g de matière sèche)

-          500g d’alcool à 90°

-          300 ml d’eau (400 dont  les 100 contenus dans la plante)

 

Ce protocole permet de standardiser partiellement les alcoolatures. En pratique cependant il est rare de pouvoir sacrifier une partie de la récolte pour ce calcul… En plaçant les plantes coupées et sans tasser dans la bouteille le résultat est satisfaisant, la solution se saturant en principes actifs.

Pour une bonne extraction le solvant doit être entre 40 et 60° alcoolique. Généralement on mélange une part d’eau et une d’alcool à 90°.

 

Placer les plantes dans un bocal ou une bouteille sans tasser

Verser le mélange eau-alcool jusqu’en haut

Fermer hermétiquement et laisser deux semaines

Agiter vigoureusement et laisser deux nouvelles semaines

Placer les plantes dans une chaussette ou un linge

Essorer le tout puis filtrer sur filtre papier

Placer dans des bouteilles opaques et remplies jusqu’en haut

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Durée moyenne de conservation : de 2 à 5 ans

 

ou 19 euros les 100 ml en magasins bio ou pharmacies.



23/04/2011
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