Arnold Schwarzenegger : dommages collatéraux
"Vrais mensonges (True Lies)","Jumeaux" et "Terminator 2-Le Jugement Dernier" : trois titres de la filmographie d'Arnold Schwarzenegger suffisent à résumer l'impasse dans laquelle sa testostérone l'a conduit.
Cette fois, il ne s'agit pas de figurants, dégommés à la sulfateuse par l'ange autrichien avant de se relever pour aller toucher leur cachet au guichet de la Warner, mais de vrais gens de son entourage : sa bonne, sa femme et ses enfants.
Parmi eux, le jeune Patrick qui a modifié son nom d'utilisateur sur Twitter pour mettre en valeur le patronyme maternel: Shriver. Cybermalaise adolescent qui traduit la baffe prise par un môme qui vient d'apprendre que le fils de l'employée de maison est son frangin.
Il fallait donc que Schwarzy et son clone aient une discussion entre hommes. Et, en bon Américain autant qu'en expert es-communication, Arnold a choisi de tailler cette bavette devant un hamburger...
jouer à sperminator !!
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